Le célèbre masque luba

04.08.2021

  • Numéro d’inventaire : EO.0.0.23470
  • Masque anthropozoomorphe du peuple luba
  • Matériau : bois (Ricinodendron rautanenil)
  • Lieu et date de fabrication (estimation) : Luulu, Katanga, RD Congo, [Luba]. 2e quart du XIXe Siècle
  • Pillé à Luulu le 26 mars 1896 par les troupes d’Oscar Michaux, engagé dans la Force publique de l’État indépendant du Congo.
  • Arrivé en Belgique (selon l’anthropologue Rik Ceyssens) via : Seeya - Luulu - Kasongo-Mfwamba - Luluaburg (juillet 1896) - Lusambo (1er août 1896) - Boma - Anvers (29 juillet 1897)
  • Collection Oscar Michaux, Belgique
  • Vendu au musée par la veuve de Michaux, Mathilde Mertens, le 18 avril 1919 à travers l’achat d’une collection de plus de 700 pièces.
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Le pillage du village de Luulu

La Force publique constituait la force armée de l’État indépendant du Congo (EIC) de Léopold II. Composée de Congolais mais aussi d’étrangers africains, elle exerçait les fonctions de police et d’armée de l’EIC.

En 1895, une révolte intervient au sein de la Force publique, appelée révolte des Tetela et qui dura plusieurs années. À cette période, le Commandant Oscar Michaux (1860-1918) pris part également à la « 3e campagne contre les Bashilenge et les Kiokos ».

C’est alors qu’il accompagne une colonne de ravitaillement avec son armée, que Michaux et ses hommes atteignent le village de Luulu le 26 mars 1896. Se voyant refuser l’installation de sa troupe par le chef du village, Michaux pénètre et occupe de force Luulu. Tandis que les habitants avaient fui dans la forêt, des vivres et de multiples biens, dont le masque, sont pillés dans le village déserté.

Les circonstances du pillage de ce masque à Luulu sont connues grâce au journal d’Albert Lapière, un officier qui accompagne alors Michaux. Ce document, dont le musée possède une copie, constitue un témoignage de première main sur les évènements qui ont mené au pillage du village de Luulu.

Le journal d’Albert Lapière fut étudié par le Dr. Rik Ceyssens qui, en 2011, publia une étude complète sur la collection Michaux aux éditions du Musée royal de l’Afrique centrale (MRAC). Grâce à cet ouvrage, les conditions d’acquisition de ce masque sont parfaitement détaillées.

Le militaire Oscar Michaux

Oscar Joseph Isidore Michaux (Glimes, 27/03/1860 - Graveline, 07/01/1918), s’engage comme soldat en 1880. Diplômé de l’école d’équitation de l’armée belge en 1882, il devient sous-lieutenant de cavalerie en 1887. Il est alors détaché comme Officier d’instruction dans cette école en 1888. Le 8 novembre 1889, il est rattaché à l’Institut cartographique militaire (la procédure habituelle pour envoyer les militaires belges au sein de la Force publique de l’EIC).

Michaux embarque pour le Congo le 2 décembre 1889. Après son arrivée à Lusambo, il participe aux expéditions contre le chef Gongo Lutete, puis aux combats contre les commerçants et caravaniers Kiokos (Chokwe et apparentés). Ensuite, lors de la campagne arabe, il participe à la bataille de la Lomami contre le chef arabe Sefu, dont les 10 000 hommes subissent des pertes immenses estimées à 3000 morts et d’innombrables noyés. Suite à cette bataille sanglante et tragique (des mots mêmes du militaire), Michaux est présenté comme un héros, comme l’illustre l’aquarelle de Thiriar (ci-dessus) avec les drapeaux qui furent alors saisis.

Après un retour de quelques mois en Belgique en 1893, Michaux retourne au Congo en juin de cette année, où il devient commissaire de district du Kasaï-Lualaba à son ancien poste de Lusambo. C’est lors de ce second terme, marqué par la « révolte des Tetela » au sein de la Force publique, que le masque luba fut pillé à Luulu.

Composition et constitution de la collection Michaux

Ce masque est le seul exemplaire d’une collection comportant pas moins de 715 objets.

L’ensemble, vendu au musée par la veuve de Michaux en 1919, comprend notamment des coupes, des cornes, des boîtes, des statues, des sceptres/cannes, des peignes, des ivoires, de nombreux textiles en raphia tissés, des armes, des instruments de musique et des sièges ; tous acquis par le militaire lors de près de sept années passées au Congo.

Mais nous en savons peu sur les contextes et modes de leurs acquisitions par Michaux. Hormis un textile Kuba (EO.0.0.23676) de la collection qui semble, lui, avoir été vendu/échangé/donné par Léon Rom, un autre agent belge de l’EIC, Michaux se contente de mentionner de possibles transactions alors qu’il remonte le Sankuru lors de son premier terme au Congo :

Tous les jours du haut de ma cabine, je puis jouir d’un spectacle inoubliable, d’un coup d’œil merveilleux. Une cinquantaine de pirogues évoluent autour du bateau. Tous les noirs nous offrent en vente les marchandises les plus invraisemblables, voire même… des membres de leur famille. Les habitants du Sankuru sont très habiles aux ouvrages de mains. Ils confectionnent, entre autres choses, des nattes et des étoffes indigènes qui sont réellement superbes ; ainsi que des haches, des lances, des couteaux et des gobelets en bois qui sont de véritables petits chefs d’œuvre et dénotent, par leur originalité et leur fini, beaucoup de goût et d’art chez ces artistes, enfants de la nature.

La généralisation des collectes à cette époque accentue en effet les échanges commerciaux de ces biens et génère aussi une production qui les alimentait. D’ailleurs, une note du conservateur Maes du 28 avril 1919 au sujet de la collection Michaux mentionne le cas de fabrication  :

L’intérêt de cette belle collection réside en première ligne dans le fait que toutes les pièces possèdent non-seulement les renseignements d’origine et de provenance, mais en outre, la date de fabrication et de récolte.

Mais contrairement à ce que signale la note de Maes, toutes les pièces sont loin d’être documentées par les sources qui ont alors été transmises au musée ; ce qui a donné cours à nombre d’hypothèses de recherche. Aussi, le masque Luba a un temps été considéré comme une collecte de Michaux menée à Tabora, dans le centre de l’actuelle Tanzanie, en 1899 (Trésors cachés, 1995 : 352).

Selon Ceyssens, les objets présents dans la collection Michaux auraient été indifféremment marchandés, au gré de rencontres – la plupart sur un pied d’inégalité –, ou pris sans autorisation lors de ses campagnes militaires.

Sans véritable agenda ni volonté de répondre à une directive hiérarchique, la collection Michaux se serait ainsi vraisemblablement constituée, en fonction des circonstances, sur la base de souvenirs militaires et d’une certaine curiosité pour le bel objet exotique.

Des circonstances occultées

Pour autant, Michaux parait peu intéressé par les objets eux-mêmes. Dans son Carnet de campagne publié en 1907, son attention et ses souvenirs s’attachent largement aux descriptions d’épisodes de chasse. Dans la seconde édition de son Carnet de campagne en 1913, il mentionne les objets de Luulu, mais ce passage est assurément un ajout inspiré par la lecture du Journal de son ancien officier, Albert Lapière.

Les versions de Michaux et de Lapière sont néanmoins très différentes. Michaux, supérieur hiérarchique de Lapière, adapte de manière trompeuse le récit de l’installation de sa colonne armée à Luulu. En effet, il enjolive clairement cet épisode (Michaux 1913 : 339) :

Je lui répond que mes hommes sont trop fatigués pour établir un campement et passant outre, je prends possession du village, l’assurant que lui et ses gens n’avaient rien à craindre, ni pour eux ni pour leurs biens. Quelques heures après il était tout à fait rassuré. C’est dans ce village que j’ai vu le plus nombreux et les plus beaux fétiches, une immense tête creuse avec deux grandes cornes servant au féticheur qui se l’adaptait sur les épaules ; il y avait encore plusieurs fétiches ayant au moins un mètre de hauteur, et représentant l’un un homme et l’autre une femme avec un pot, battant le manioc, ainsi que plusieurs autres sujets très originaux et tous forts bien sculptés. La canne du chef était formée de cercles en cuivre allant en spirales de bas en haut ; elle était aussi surmontée d’une tête de femme très finement sculptée ; il y a avait également une massue dans le même genre, ainsi qu’une superbe pagaie, véritable merveille. Cette contrée est d’ailleurs très riche en objets de collection.

Tandis que dans son journal, Lapière relate longuement le contexte de l’arrivée de leur troupe à Luulu et détaille la prise du masque :

le 26 [mars] la route est fort longue, nous n’arriverons au village de Lulu que vers 2h et par contre il n’y a pas une goutte d’eau sur la route, heureusement qu’on nous a prévenu et qu’ainsi nous ayons pu prendre nos précautions. Il fait une chaleur suffocante comme un fait exprès, nous traversons d’immenses plaines formant de légers mamelons, le terrain est argilo-ferrugineux et pierreux, les herbes sont peu élevées, mais la réverbération est très forte ; grâce à nos provisions d’eau nos porteurs et nos gens ne souffrent pas trop. Vers 10 h nous voyons dans le lointain de fortes montagnes, il doit y avoir un village dans les environs, nous marchons dans les plantations, les hommes reprennent courage. En effet le village ne se trouve plus loin, nous y arriverons dans une demie heure tout au plus. Nous pénétrons dans une forêt très épaisse où nous découvrons de nombreux pièges. Nos hommes prennent plusieurs bêtes dans les fossés. Au sortir du bois le sentier descend très raide, le village se trouve à nos pieds. Il n’est pas très grand peut-être deux cents cases. Il n’y a pas de boma mais il est défendu de trois côtés par une brousse impénétrable et du quatrième côté par un vaste marais. A l’entrée du village, le chef fait mine de vouloir susciter des difficultés pour nous laisser entrer donnant des prétextes futiles ; les cases étaient très petites et peu nombreuses vu notre immense caravane, on était occupé à préparer le tribut, en deux mots il nous invitait tout bonnement à camper à la porte. Nous avons pris possession du village lui répondant que nous étions toujours prêts à l’entendre. Quelques instants après notre installation, plus une âme au village, le chef et tous ses gens venaient de nous brûler la politesse.
L’après-midi nos gens ont découvert 11 touques de poudre appartenant probablement à Kassongo-Niembo ou peut-être aux Kiokos. Ensuite plusieurs magnifiques chèvres égarées dans le village se sont fait prendre, on nous a ramené des fétiches en masse, en outre : une immense tête avec deux grandes cornes servant au féticheur qui se l’adaptait sur les épaules, elle était percée d’un grand nombre de petits trous venant à hauteur des yeux, il y a avait encore plusieurs statuettes d’un mètre de hauteur représentant un homme, une femme avec un pot battant le manioc et plusieurs autres sujets très originaux et tous fort bien soignés ; la canne du chef formée de cercles en cuivre rouge allant en spirales de bas en haut la canne était surmontée d’une tête de femme finement sculptée ; une massue dans le même genre puis une superbe pagaie complètement travaillée ; cette contrée-ci est d’ailleurs très riche en fait d’objets de collection.
Nous pensions à un certain moment avoir la guerre, les soldats découvraient toutes les cachettes et rapportaient quelque chose à chaque instant.
La nuit s’est passée sans incident.
Le 27 nous quittons Lulu, plus de marais seulement forêts tout le temps […]

La différence entre les deux récits – journal privé de Lapière et la version ultérieure publiée par Michaux – tend à montrer que Michaux lui-même condamne rétrospectivement, la « mise à sac » du village de Luulu ; estimant sans doute que ces pratiques devraient rester ignorées d’un large public, car elles terniraient singulièrement son prestige et/ou sa réputation.

Les objets raflés à Luulu constituent bel et bien un butin constitué par la force à l’encontre des villageois ayant fui face à la colonne armée dirigée par Michaux.

Butins et trophées

Une fois de retour en Belgique, nous ne savons pas comment furent entreposés/exposés/valorisés les objets chez Michaux dans ses différentes résidences. Apparemment, ils furent cachés pendant la Première Guerre mondiale et se seraient trouvés dans un état de conservation précaire au moment de la proposition en vente au musée après la mort de Michaux en 1918. 

En 1913, Michaux offre au Ministère de la Guerre cinq drapeaux saisis sur les champs de bataille africains : trois – dont celui de Sefu – provenant de la bataille de Chigé sur le Lomami le 23 décembre 1892 et deux drapeaux chokwe. La correspondance qu’il entretient alors avec sa tutelle ministérielle éclaire quelque peu sa perception de ces objets. Ainsi, lorsque Michaux écrit au ministre le 11 février 1913 pour lui remettre personnellement ce don, il écrit au sujet des drapeaux : je les ai conquis et il argumente : N’ayant malheureusement pas d’enfant à qui je puisse les léguer, je désire offrir ces trophées au musée de l’Armée.

Pour Michaux, il s’agit donc bien de prises de guerre dont la propriété lui revient en propre. Ce n’est que du fait de l’absence d’une descendance qu’il consent à les donner à l’État belge. À cette époque, Michaux est toutefois très insatisfait de sa carrière militaire et ce don est certainement une façon de rappeler à sa tutelle ses anciens faits d’armes africains dans l’espoir d’obtenir de l’avancement.

Il n’en va pas de même pour la collection d’objets congolais, que Michaux conserve jusqu’à sa mort. Cette collection est vendue seulement après au musée de Tervuren, en avril 1919, dans le cadre du processus de sa succession.

Une quarantaine d’armes congolaises – essentiellement des lances – sans doute jugées peu intéressantes, n’ont cependant pas été acquises par le musée de Tervuren. Elles furent données par la veuve plusieurs années après, en 1926, au Musée royal de l’Armée et de l’Histoire militaire. Les décorations, médailles et pièces d’équipement militaire de Michaux seront, elles, remises encore plus tard au Musée de l’Armée, en novembre 1929.

La frénésie de collecte des agents de l’EIC

L’entrée des collections des agents et militaires de l’EIC (ou de leurs héritiers) dans les institutions publiques de Belgique se fait de manière aléatoire, selon leur bon vouloir et souvent contre rétribution financière.

Pour endiguer ce phénomène et certainement les abus commis avec des collectes tous azimuts effectuées par des personnalités aux ambitions diverses, le contrat d'engagement des agents de l'EIC stipule formellement dès 1896 (quelques mois après la mise à sac de Luulu) l'interdiction de réunir des collections particulières afin d'empêcher qu'ils ne se livrent à d'autres occupations, en l'occurrence commerciales, que celles qui leur sont dévolues en vertu de leur contrat. 

Dans les faits, ce frein n'est pas forcément suivi d’effet et les agents de l’EIC continuent de ramener en Belgique de nombreux objets. Acquis comme trophées et/ou curiosités, ils sont destinés à servir de souvenirs et intègrent le décor de leurs habitations (Van Schuylenbergh 2006 : 298).

D’autres objets de la collection Michaux dans les salles du musée :

  • Statue luba

L’exposition temporaire Art sans pareil présente deux autres objets rapportés en Belgique par Michaux : le couteau EO.0.0.23858 et la sculpture luba EO.0.0.23459. Cette dernière pourrait également provenir du village de Luulu (Ceyssens 2011 : 122). 

C’est dans ce village [Luulu] que j’ai vu les plus nombreux et les plus beaux fétiches, […] ;  il y avait encore plusieurs fétiches ayant au moins un mètre de hauteur et représentant l’un un homme, l’autre une femme avec un pot, […] (Michaux, 1913 : 338-339)

Bien qu’elle ne mesure que 88 cm et ne corresponde pas exactement ni à la description du journal de Lapière ni à son adaptation plus tardive dans la publication par Michaux (ci-dessus), le caractère hermaphrodite de cette statue l’identifie, selon Ceyssens, comme l’une des pièces saisies lors du pillage perpétré à Luulu.

 

  • Sceptre bembe

Trois objets provenant de la collection Michaux sont également présentés dans la salle Rituels et Cérémonies. Il s’agit d’un oracle à frottements katatora luba (EO.0.0.23472), une statuette luluwa (EO.0.0.23465) et un rare sceptre bembe (EO.0.0.23485). À priori, ceux-ci ne proviennent pas de Luulu.

Michaux n’a d’ailleurs pas pu acquérir ce sceptre in situ, car il n’a jamais résidé chez les Bembe. Il n’a jamais été stationné, ni temporairement opéré sur la rive droite de la rivière Lualaba.

Il s’agirait donc d’un objet déplacé, dont l’acquisition aurait pu être faite sur les voies de communication menant par exemple à Kisangani, à Lusambo, en direction du Bas-Congo. 

Selon Ceyssens, il pourrait aussi s’agir d’un échange avec des agents de l’EIC (l’un des raphias de la collection provient par ex. de Léon Rom), voire avec des membres de la Force publique, dont par exemple les Boyo (Buyu), voisins des Bembe, et qui ont été plus d’une fois sous le commandement direct de Michaux.

 


Texte élaboré à partir d’une proposition d’Agnès Lacaille sur base de recherches spécifiques et d’une synthèse issue des données ci-dessous.

SOURCES

Entretiens : Pierre Lierneux

Archives :

  • Archives générales du Royaume :
    • Fonds Minicol, 9089
    • Fonds SPA, Dossiers personnels d'Afrique "Michaux O.", n° 768/558
       
  • Musée royal de l'Afrique centrale :
    • section d’Ethnographie, dossier d’acquisition Michaux, DA.2.394 + papiers Lapière
    • section d’Histoire : AA.1-I.222 Oscar Michaux (1919) ; 1958.60 (DA.7.1464) ; 1964.37 (DA.7.1907) ; 1979.57 (DA.7.2722)
       
  • Musée royal de l'Armée et d'Histoire militaire : dossier personnel Oscar Michaux et Correspondance

Ouvrages et articles :

  • Bouffioux M., Musée royal de l’Afrique centrale : un masque tellement ‘emblématique’, Paris Match, 2019.
  • Cambier R., Oscar Isidore Joseph Michaux, Biographie Coloniale Belge, Bruxelles, Inst. roy. colon. Belge, tome I, 1948 (10 mai 1947), pp. 685-693.
  • Ceyssens R., De Luulu à Tervuren: la collection Oscar Michaux au Musée royal de l'Afrique centrale, Tervuren: AfricaMuseum Tervuren, 2011.
  • Ceyssens R., La révolte de la force publique congolaise (1895) : les papiers Albert Lapière au musée de Tervuren, Louvain-la-Neuve, l’Harmattan, 2016.
  • Coosemans M., Albert Lapière, Biographie Coloniale Belge, Bruxelles, Inst. roy. colon. Belge, T. II, 1951, col. 589-592.
  • Félix M. L. (éd.), Masks in Congo, Hong Kong: Ethnic Art & Culture Ltd., 2016, p. 209.
  • Michaux, Au Congo. Carnet de campagne. Episodes & impressions de 1889 à 1897, Bruxelles, Falk, 1907 & édition Namur, Dupagne-Counet, 1913.
  • Roberts Allen F. (éd.), Memory: Luba art and the making of history, New York Munich: Africa Center ; Prestel, 1996.
  • Van Schuylenbergh P., De l’appropriation à la conservation de la faune sauvage. Pratiques d’une colonisation : le cas du Congo belge (1885-1960), thèse de doctorat, Louvain-la-Neuve, 2006
  • Verswijver G. (éd.), Trésors d'Afrique, Musée de Tervuren, Tervuren: AfricaMuseum Tervuren, 1995, p. 190-191, 352.
  • Volper J., Autour des Songye: Under the influence of the Songye, Montreuil: Éditions d'Art Gourcuff Gradenigo, 2012, p. 89.
  • Volper, "Ce que veut dire un masque: réflexions iconographiques autour d'un chef-d'œuvre du MRAC" in: Tribal Art Magazine 71, Printemps 2014 (2014): 126-127, 129-130, 133. Vidéo
  • Volper (éd.), Art Sans Pareil: Objets merveilleux du Musée royal de l'Afrique centrale, Kontich: Bai Publishers ;  AfricaMuseum Tervuren, 2018, p. 134.

 

Les informations qui se trouvent dans cet article sont essentiellement basées sur les ressources disponibles au musée (archives, publications, etc.). Comme souvent, des sources africaines apportant d’autres perspectives manquent à ce récit. Les biographies de ces objets peuvent donc toujours être enrichies. Avez-vous des remarques, des informations ou des témoignages à partager sur cet objet ou sur ce type d’objets ? N’hésitez pas à nous contacter : provenance@africamuseum.be.

 

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