Conférence

Hour info
15:00-20:00 h.
Langue
Français
Available
On
Summary

Le 8 mars, de 15h à 20h, rejoignez-nous pour célébrer le Prix Mama Muilu, une distinction honorant des femmes d’exception dans les domaines sociaux, culturels et politiques. Cet événement, organisé par TOKANISA MBOKA l’ASBL, met en lumière l’héritage remarquable de Mama Marie Muilu Kiawanga, une femme de courage et de leadership, dont l’engagement a permis la pérennité du Kimbanguisme.

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Le 6 avril 1921, Simon Kimbangu, un prophète visionaire, initie un mouvement de réveil des consciences et de libération des opprimés à Nkamba, en République Démocratique du Congo. Ce mouvement, qui remet en question les fondements du régime colonial belge, est violemment réprimé, et Kimbangu est arrêté après seulement six mois d’activité. Après son arrestation, son épouse, Mama Marie Muilu Kiawanga, prend le relais et poursuit la mission malgré l’interdiction des rassemblements religieux. Pendant 38 ans, elle organise clandestinement des réunions, mobilisant des partisans venus de diverses régions et pays voisins, tout en faisant preuve de courage, de résilience et de leadership face aux humiliations et persécutions. 

L’héritage de Mama Muilu est essentiel à la pérennité du Kimbanguisme. Elle incarne une figure emblématique de résistance, d’amour et de leadership féminin. En hommage à son engagement et à son rôle central dans la préservation du mouvement, TOKANISA MBOKA l'ASBL organise la remise du "Prix Mama Muilu", honorant 20 femmes qui se distinguent dans les domaines Social, Culturel, Politique et Économique.

Après 2 premières éditions réussies en partenariat avec Change ASBL sous le haut patronage de la ville de Bruxelles, TOKANISA MBOKA l'ASBL avait décidé de protéger le label de ce prix avec son trophée au Ministère de Culture, Art et Patrimoines de la République Démocratique du Congo.

Place

AfricaMuseum

Participants
Max. 200 participants
Prix

Gratuit

Hour info
14:00 - 16:30 h.
Available
On
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Le 7 décembre prochain, à l’occasion de la clôture de la deuxième année d’enquête du projet Congolines, KBR organise une deuxième rencontre publique avec les chercheurs et chercheuses du projet coordonné par le Musée royal de l’Afrique centrale, en partenariat avec KBR, l’UNIKIN (Kinshasa, RDC) et l’université de Gand.

Les chercheurs et chercheuses de ce projet ont pour objectif premier de recontextualiser le phénomène de dessin sur papier en RDC à l’époque coloniale dans la première moitié du XXe siècle.

 

Albert Lubaki existe-t-il ?

Après la première rencontre de l’année dernière qui s’intéressait à l’état des lieux général des recherches, cette deuxième rencontre portera sur les recherches dédiées à l’artiste Albert Lubaki et la remise en question de son existence.

Pour comprendre le passé, l’équipe du projet Congolines travaille entre recherches de terrain, plongées dans les archives, et analyses techniques des dessins. Tels des détectives privés, elles démêlent des histoires complexes et posent plus de questions qu’ils ne trouvent de réponses.

 

Programme

14h : Introduction : Bambi Ceuppens, Vicky Van Bockhaven et Joris Van Grieken

14h20 : Diana Salakheddin « Retracer la biographie d’Albert Lubaki. Problèmes et aspects méthodologiques. »

14h40 : Ophélie Laloy « Georges Thiry, une source primaire littéraire ? »

15h : Yvette Nyalusala Ikando « Peinture murale comme moyen de communication culturel dans le Nord- Est de la RDC. »

15h20 : Conclusion : Bambi Ceuppens, Vicky Van Bockhaven et Joris Van Grieken

15h30-16h : Questions du public

16h-16h30 : Clôture de l’événement et café

Place

Lieu

KBR, Kunstberg 28, 1000 Brussel

Concertzaal, 4de verdieping

Prix

Gratuit

Hour info
Samedi 14 décembre 2024, 15h-17h & Dimanche 15 décembre 2024, 15h-17h
Available
On
Summary

En 2021, la rumba congolaise a été inscrite au patrimoine immatériel de l'UNESCO. A l’occasion de ce troisième anniversaire, l’entrepreneur culturel Klay Mahungu et l’AfricaMuseum vous invitent au weekend consacré à la rumba, avec la participation de l’artiste guitariste Pépé Felly Manuaku.

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Le weekend organisé à l’AfricaMuseum propose un programme de deux jours : 

Samedi 14 décembre : conférence

Avec le soutien de TVC Médical 

La rumba est une véritable identité congolaise incarnant la joie et la passion de vivre.
C’est un état d’esprit et une manière d’être. Lors de la conférence, Klay Mahungu présentera l’histoire et l’évolution de la rumba depuis les années 1940 jusqu’à présent. Comment la rumba peut-elle changer les mentalités ? Comment la jeunesse peut-elle s’approprier cette musique ?

Le public aura le privilège d'écouter celui qu'on appelle le "Magicien de la guitare", l'artiste compositeur et arrangeur Pépé Felly Manuaku. Ce dernier parlera de son apport dans la rumba congolaise mais aussi de son propre style. Il fera également quelques démonstrations à la guitare.

Dimanche 15 décembre : concert

Super Rumba est un orchestre bruxellois de rumba congolaise. Son répertoire est composé des classiques qui font la gloire de la rumba congolaise. A chacune de ses prestations, l’ambiance qui s’y crée ne laisse personne indifférent. Le public n’a qu’une envie, de danser. Le concert s’appuie sur des artistes musiciens expérimentés dont certains ont travaillé avec des musiciens et groupes prestigieux du Congo tels que Franco, Tabu Ley, Papa Wemba, Zaïko, Wenge Musica et Fally Ipupa. 

 

Qui est Klay Mahungu ? 

KlaySi aujourd’hui on parle tant de la rumba congolaise en Belgique, Klay Mahungu y est pour quelque chose. Cela fait près de quarante ans qu’il organise des concerts, qu’il anime des conférences et qu’il prend part aux émissions tant télévisées que radiophoniques sur le thème de la rumba. Il est également présent dans les réseaux sociaux. Il est donc un acteur incontournable dans la promotion et la production de la rumba congolaise en Belgique. Sa renommée s’étend certes au sein de la diaspora congolaise, mais également en République Démocratique du Congo, son pays d’origine.

Ses collaborations avec plusieurs institutions et autres hauts lieux de la culture, tels que l’AfricaMuseum, Bozar ou le Théâtre Molière, ont donné lieu à près de vingt concerts de rumba ces huit dernières années. Parmi les plus prestigieux, on peut citer : Rumba Lumumba, le 50 ans du groupe mythique de la rumba congolaise, Zaïko Langa Langa, les concerts d’hommage à l’immense Papa Wemba.

Faire connaître la rumba congolaise à un plus large public, tel est le leimotiv dans tous les événements que Klay Mahungu organise. Avec pédagogie et de manière ludique, il veut que le public s’amuse, certes,  mais qu’il s’informe également sur la rumba et sur sa place dans la culture congolaise.
 

Place

Lieu

AfricaMuseum (Leuvensesteenweg 13, 3080 Tervuren) 
 

TICKETS CONFÉRENCE

Prix

Samedi 14 décembre 2024 : gratuit
Dimanche 15 décembre 2024 : 5 euros (concert) ou 10 euros (concert et visite du musée) - entrée gratuite pour les enfants moins de 18 ans 

Info

Ne manquez pas de découvrir le Rumba Studio dans le musée. Au Congo, les genres populaires tels que la rumba, le soukous ou le ndombolo sont de la musique de fête et de danse. On les entend dans les bars et les arrière-maisons. Le succès populaire d’une chanson dépend surtout des pas de danse qui l’accompagnent, mais aussi de ses paroles. Celles-ci évoquent souvent l’actualité et de grands événements culturels ou sociaux : la musique se fait miroir de la société. 

Contact 

nadia.nsayi.madjedjo@africamuseum.be
0474 84 53 64 

ou

klaym8@msn.com (Klay Mahungu) 
0497253324

Hour info
19:30-21:00h.
Langue
Français
Available
On
Summary

Il y a 130 ans exactement avait lieu l’Exposition universelle d’Anvers. À cette occasion, 144 Congolais furent exposés au KMSKA ; sept d’entre eux moururent. L’AfricaMuseum, qui a connu une page d’histoire similaire à Tervuren, organise un MuseumTalk en ligne consacré au souvenir et à la commémoration de cette tragédie. Les intervenants sont une chercheuse, un activiste et un artiste.

Photo : Judith Elseviers prononce un discours lors de l'action de l'asbl Hand in Hand au KMSKA, 2024

Le 30 août 2024, le collège échevinal de la ville d’Anvers a approuvé la construction d’un cénotaphe au cimetière Schoonselhof. Dans le communiqué de presse résonnaient les mots du bourgmestre Bart De Wever : « Pour comprendre notre présent, nous devons regarder le passé droit dans les yeux. C’est pourquoi il est particulièrement nécessaire d’ériger un cénotaphe pour les Congolais décédés en 1894. Car ils font partie intégrante de notre histoire, et de notre communauté urbaine. Nous voulons maintenir vivant le souvenir de leur récit bouleversant en un lieu digne, serein et visible. En concertation avec la communauté congolaise d’Anvers, nous avons trouvé dans le Schoonselhof un lieu de mémoire approprié. Ce cénotaphe interpellera tous les Anversois.

La décision du conseil municipal est la conséquence de plusieurs initiatives prises depuis l’exposition 100 x Congo. Een eeuw Congolese kunst in Antwerpen, présentée au MAS, qui portait à la connaissance d’un large public d’Anvers et d’ailleurs ce qui s’est passé en 1894, alors que le Congo était encore une propriété privée du roi Léopold II : l’ancienne stagiaire au MAS Bitshilualua Kabeya et l’association estudiantine africaine AYO ont organisé une cérémonie, une lettre de Judith Elseviers et Nadia Nsayi a paru dans De Morgen, Hand in Hand tegen Racisme a lancé une pétition et une action sur l’esplanade du musée, …

 

Les intervenants

Que s’est-il passé en 1894 ? Où commémorer au mieux les Congolais aujourd’hui ? Comment l’histoire coloniale inspire-t-elle les artistes contemporains ? Tine Geunis, cheffe du service Public et Partenaires du musée, sera la modératrice du débat auquel prendront part : 

Els De Palmenaer, historienne de l’art spécialisée dans les « arts ethniques » (Universiteit Gent) et conservatrice de la collection africaine du MAS. En 2020 elle a été commissaire, avec Nadia Nsayi (curatrice Représentation), de l’exposition au MAS. Cette exposition temporaire mettait largement en lumière l’Exposition universelle d’Anvers et honorait pour la première fois la mémoire des sept jeunes Congolais. Depuis 2022, elle soutient le projet de recherche de provenance appliquée à la collection congolaise du MAS dans une perspective belgo-congolaise.

Lieven Miguel Kandolo, activiste, relais d’opinion et écrivain. Depuis 2021 il donne des conférences en indépendant et écrit sur des thèmes tels que le racisme, la décolonisation et la constitution des communautés. Il est président de Hand in Hand tegen Racisme, dont il a été coprésident durant trois ans avec Jihad Van Puymbroeck. Il a écrit avec Moussa Don Pandzou le livre Yaya na Leki (« Grand frère et petit frère »). Récemment, il s’est présenté aux élections communales à Vilvorde en tant que candidat indépendant.

David Katshiunga a migré du Congo vers la Belgique à l’âge de six ans. Il a grandi à Malines et habite aujourd’hui à Anvers. Durant ses études de graphisme, il a commencé à peindre des portraits sur bois en noir et blanc. Son exposition très médiatisée Authenticité a été présentée à Anvers (2021), à Bruxelles (2022) et à La Haye (2023). Pour son travail, il a puisé son inspiration dans le livre Dochter van de dekolonisatie (« Fille de la décolonisation ») (2020) de Nadia Nsayi. Une de ses peintures est intitulée De 7 doden van Antwerpen (« Les sept morts d’Anvers »). Lors de l’Afrika Filmfestival, Katshiunga a remporté l’Artsit Award 2015.

Place

En ligne

Info

Photo : Judith Elseviers prononce un discours lors de l'action de l'asbl Hand in Hand au KMSKA, 2024

Vous recevrez le lien TEAMS après réservation et quelques jours avant l’événement.

Hour info
15:30
Langue
Français
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Available
On
Summary

Menji, une initiative de l'éducatrice et l'influenceuse Bitshilualua Kabeya (bitshiluxe), organise en partenariat avec l'AfricaMuseum un événement sur le role des mères dans la réussite de leurs filles. 

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"La plupart des parents congolais en Belgique n’ont pas fait d’études supérieures." C’est une idée reçue qui persiste dans l'imaginaire collectif. Pourtant, nombreuses sont les mamans qui ont repris leurs études pour assurer un avenir meilleur. Beaucoup ont fait des études dans leur pays d’origine.


Retrouvons-nous le 26 octobre à Bruxelles pour découvrir les parcours inspirants de ces femmes, échanger sur les défis auxquels les jeunes filles de la communauté congolaise font face dans la poursuite de leurs études, et discuter avec un panel de femmes exceptionnelles qui partageront leurs expériences.

Place

Lieu

Centre Culturel Congolais (77 Boulevard Poincaré 1000 Bruxelles)

Prix

5 euros (étudiants) et 7,5 euros (normal)

Info

Contact: contact@menji.world

N'hesitez pas de venir au musée et visiter la salle Afropea. Cette salle montre la place et le rôle joué par des personnes africaines subsahariennes et des personnes d’ascendance africaine en Belgique depuis le 16e siècle. Le nom de la salle rend hommage à l’album du groupe belgo-congolais Zap Mama,  Adventures in Afropea 1. 

Langue
En français
Available
On
Summary

Dans le cadre des 125/5 ans de l’AfricaMuseum et durant la Brussels Fashion Week, la styliste belgo-congolaise Rosy Sambwa organise en collaboration avec le musée un événement autour de l'héritage de la mode africaine qui questionne le rôle du musée hier, aujourd'hui et demain.

Durant 3 jours, le musée, dont les collections abritent plus de 6700 textiles, majoritairement en provenance d'Afrique centrale, sera le lieu de rencontres d'experts internationaux de plus de 10 pays.

Quelle est la place des modes et l'influence des savoir-faire africains sur les divers courants technologiques et artistiques mondiaux ? Comment l'industrie du luxe communique-t-elle autour de cet héritage, autour de l'identité de ses créateurs ? Parler de mode africaine implique-t-il que le créateur soit noir ou d'origine africaine? Parler de créateur africain implique-t-il l'usage du wax ou de tissus traditionnels? Les créateurs africains ne se trouvent-ils que sur le continent noir?

Ces questions et bien d'autres seront abordées lors de l’événement Aya Afrikaanse Fashion Héritage. Le nom, aussi unique que l'événement, se traduit par "Je suis l'héritage de la mode africaine", et trouve ses racines dans 4 langues :

  • Aya, qui signifie "je suis" est en ngandi, en hommage au grand-père de Rosy Sambwa qui parle cette langue et a servi dans la Force publique (armée coloniale) au Congo.
  • Afrikaanse est en néerlandais, la langue parlée par la majorité des colons belges qui étaient réellement en contact avec la population congolaise.
  • Fashion est en anglais, la langue du business international, en particulier dans le monde de la mode.
  • Héritage est en français, langue officielle commune à la Belgique et ses anciennes colonies.

 

Programme

 

Mardi 3 octobre (en ligne)

19.30-21.30 : Conférence Du musée vers le futur : une communication de luxe autour de l'héritage (textile) des designers (africains)

Avec :

  • THOMAS MONDO : Fondateur de l'agence Bel-Amin spécialiste du luxe depuis 2005. Il affiche une solide expérience dans le branding, la publicité et le digital.
  • OLIVIER ZEEGERS : Fondateur de la Modesign Academy, spécialisée en management du Luxe.
  • KARLITA EKUE : Brand strategist, ancienne rédactrice du ELLE Côte d'Ivoire.
  • MINA BINEBINE : Fondatrice de la marque éponyme, ayant choisi de se relocaliser au Maroc.
  • BLENDA CLERJON : Fondatrice de la marque Mwa Wax, elle est chargée d'éducation à l'Institut Français de la Mode (IFM) où elle est en charge d'un master spécialisé en Management de la Mode et du Luxe et du CAP Métiers de la mode. Le gouvernement béninois l'a sollicitée pour mettre en place le programme des futures écoles de mode du pays.

 

Jeudi 5 octobre (au musée)

10.00-17.00 : Du musée vers le futur : rotation autour de l'arbre à palabre

Exposition et présentation de pièces de créateurs originaires de différents pays d'Afrique en présence de Rosy Sambwa (Louise Assomo, Odile Jacobs, Mansour Badjoko, Talansi Design, etc.).

Avant, les créateurs et designers africains se regardaient entre eux, dialoguant autour de l'arbre à palabre, entre initiés de la sape. Ils tournaient le dos au monde, heureux de se comprendre dans un entre soi. Le monde, n'ayant pas leurs codes, les a stigmatisés, leur collant une étiquette : rêveurs ou fainéants, car l'art n'est pas un métier, pour certains ; artisans instinctifs sans finesses, aux mauvaises finitions pour d'autres.

Aujourd'hui, si nous sommes tous les héritiers de ces designers-là, les stylistes actuels, nourris de leurs propres racines, assumant une identité souvent double, parlent au monde pour dire qui ils sont et ce qu'ils font. Aya Afrikaanse Fashion Héritage leur donne un espace dans le musée pour s’exprimer avec leurs mots que sont les textiles, leurs identités et
univers propres.

 

Vendredi 6 octobre (au musée) 

11.00-14.00 : exposition et présentation de pièces de créateurs originaires de différents pays d'Afrique et de quelques pièces sorties de la collection au musée, en présence de Rosy Sambwa (Louise Assomo, Odile Jacobs, Mansour Badjoko, Talansi Design, etc.).

15.00-17.00 : conférence Du musée vers le futur : le wax est-il l'héritage des designers africains ou simplement le plus marketé ?

Avec :

  • PROFESSEUR CYRIL MUSIL : délégué permanent de la RDC auprès de l'UNESCO, chercheur associé au Centre Afrique subsaharienne de l'IFRI, docteur en Sciences sociales de l'École des Hautes Études en Sciences sociales (Paris), professeur de Géopolitique des conflits africains et des études de paix à l'Université catholique de Paris.
  • EMMANUELLE COURRÈGES : Journaliste (Marie-Claire, ELLE, French Grazia, VOGUE Italia, l'EXPRESS STYLES, Le POint.fr, PARIS-MATCH, etc.), directeur-fondateur LAGO54 (plateforme et agence de communication où elle met en avant les créateurs.rices africain.e.s pour changer le regard des Occidentaux sur la mode du continent, Auteur du livre "Swinging Africa, Le Continent Mode" (Editions Flammarion).
  • VÉRONIQUE CHARMANT : experte en marketing produit.
  • THOMAS MONDO : Fondateur de l'agence Bel-Amin spécialiste du luxe depuis 2005. Il affiche une solide expérience dans le branding, la publicité et le digital.
  • STEPHANIE PRINET MOROU : forte d'une solide expérience sur les secteurs du Luxe, de la Mode et des Cosmétiques chez L'Oréal et LVMH, elle fonde son propre cabinet de conseil en stratégie (Metis Insights) et dirige une Start-up digitale (Galeries 54 pour le groupe Total). Elle est aussi à la direction générale de fonds de dotation dédiés au soutien du patrimoine culturel et artistique français notamment lié au parfum.
  • BÉA ERCOLINI : journaliste multimédia, activiste et entrepreneure sociale belge. Rédactrice en chef du Elle Belgique de 2003 à 2016, elle s'emploie à promouvoir la culture et la création belge et a développé une véritable expertise en personal branding online et offline.

 

Samedi 7 octobre (au musée)

16.30-17.00 : Défilé de mode

 

Cet événement est une initiative de Rosy Sambwa, diplômée d'ESMOD Paris, la première école de mode française dédiée au Fashion Design et au Fashion Business. Aujourd'hui, elle donne des conférences et écrit sur la mode. 

Place

AfricaMuseum (Leuvensesteenweg 13, 3070 Tervuren)

Prix

5 euros par événement, hormis la conférence en ligne (gratuite)

Info
Subtitle
Rencontres / Performances /Table ronde
Hour info
14.10: 11:00 - 18:00/ 15.10: 14:00 - 18:00
Langue
Français
Available
On
Summary

Les 14 et 15 octobre 2023, l’AfricaMuseum et Ayoko Mensah (programmatrice artistique et journaliste) invitent le public à rencontrer près de 30 créateur·ice·s et chercheur·se·s lors d’un weekend de réseautage, de débats et de performances autour de l’utilisation artistique des archives du musée. 

Dans le cadre du programme 125/5, qui marque 125 ans d’existence du musée et 5 années depuis sa réouverture en décembre 2018.

Jonathan Vatunga, Mère et enfant (détail), technique mixte, 2023.

Qu’iels soient plasticien·ne·s, cinéastes, musicien·ne·s ou performeur·euse·s , les artistes seront présent·e·s ou connecté·e·s digitalement depuis le continent africain pour se rencontrer et proposer aux professionnels et au public leurs travaux et recherches réalisés à partir de nombreuses archives (écrites, visuelles et sonores) du musée. Ils seront également là pour échanger sur les pratiques, les expériences et interroger le rapport à l’archive et à l’institution muséale. 

La journée du samedi 14 octobre, s’organise une table ronde sur le thème « Appropriation des archives du musée : quelles pratiques ? quels enjeux ? quels problèmes ? » à laquelle participent notamment l’historien Amzat Boukari et la chercheuse Lotte Arndt. La journée se clôture avec l’ouverture de la nouvelle exposition du photographe Teddy Mazina « MY NAME IS NO-BODY » qui déconstruit la conception de l’archive et invite à repenser le rapport au passé, à l’histoire et à la mémoire.

La journée du dimanche 15 octobre sera consacrée à du réseautage et à des échanges avec le public (pas de réservation nécessaire). Une performance du photographe Teddy Mazina aura également lieu dans le cadre de l’ouverture au public de l’exposition MY NAME IS NO-BODY (réservation est necessaire).

Les rencontres se dérouleront principalement en français.

Seront notamment présent·e·s : On Ying Adila Yip, Eric Androa Mindre, Maximilien Atangana, Hilary Balu, Rokia Bamba, Tatiana Bohm, Sarah Carlier, Matthias De Groof, Beau Disundi, Koenraad Ecker, Eddy Ekete, Johan Grimonprez, Stephane Kabila, Kabeya, Victoire Karera, Jean Kamba, Sixte Kakinda, Pytshens Kambilo, Nicole Letuppe, Johnny Leya, Maliza Liebeskind, Emilio López-Menchero, Frédéric Lubansu, Arno Luzamba, Heritier M. Bilaka, Teddy Mazina, Aimé Mpane, Innocent Muhozi, Freddy Mutombo, Paulvi Ngimbi, Precy Numbi, Haldi Nzia Okudheyo, Rosy Sambwa, Prisca Tankwey, Anne-Françoise Tasnier, Fransix Tenda, Jérémy Tshiyembi Koyoka, Eric Van den Abeele, Jonathan Vatunga…

> (Re)-appropriation, biographies d'artistes

More info

Plus d’infos sur le programme des artistes en résidence : www.africamuseum.be/fr/get_involved/artists

Place

Lieu 

AfricaMuseum

Contact

air@africamuseum.be

Info

Image : Jonathan Vatunga, Mère et enfant (détail), technique mixte, 2023. 

Aftermovie

YouTube : https://www.youtube.com/playlist?list=PLn7cTTGw-boWlWLgEvij9mHytPE97UCU9

Subtitle
Conférence
Hour info
14.30-17.00h
Langue
Français
Available
On
Summary

Dans le cadre des 125/5 ans, l’association Bakushinta organise en collaboration avec l’AfricaMuseum une conférence de valorisation et promotion de la fibre raphia, dans sa dimension culturelle, technique et économique.

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Cet événement souhaite démanteler les stéréotypes racistes sur les personnes noires et africaines dans l'habillement, en présentant les preuves d'ingéniosité créative historique et les savoir-faire technologiques des textiles dans le processus de production et en exposant toute sa complexité inventive et technique d'hier à nos jours.

Lors de la conférence vous pouvez :

  • Acquérir un guide pour l'étude approfondie du raphia de la RDC pour vos projets créatifs et culturels.
  • Comprendre l'importance culturelle et historique du palmier raphia.
  • Explorer le lien entre savoir-faire et culture des fibres de palmier raphia .

Les organisatrices Georgine Dibua Mbombo et Judith Ambusu Akuma vous invitent à venir interagir et échanger, à bénéficier de leur expertise ainsi que de l'expérience entrepreneuriale des invité.e.s.

Programme

14.30-15.00 : Verre de bienvenu

15.00-15.25 : La relation entre la culture et le savoir-faire pour le palmier raphia en RDC (avec Georgine Dibua Mbombo)

15.25-15.50 : Décortiquer la matérialité et les informations d'un tissu raphia (avec Judith Ambusu Akuma)

15.50-16.15: Le raphia, une source infinie d'entrepreneuriat : Comment innover et réinventer avec ce patrimoine naturel ? (talk)

16.15-16.45 : Questions et débat

Place

Lieu

AfricaMuseum et en ligne

Inscrivez-vous

Inscription présentiel 

Inscription en ligne 

Prix

€ 5

Info
Hour info
15.00 - 17.00 h (accueil à partir de 14.30h)
Langue
Français
Available
On
Summary

Dans le cadre des 125/5 ans, l’association Bookutani vous invite en collaboration avec l’AfricaMuseum à plonger au cœur de l'Histoire fascinante de la République Démocratique du Congo (RDC) à travers une rencontre enrichissante qui rassemble les connaissances, expériences et œuvres des auteurs et autrices du Congo et sa diaspora.

Bookutani

Cet événement offre au public un accès privilégié et authentique à l'Histoire et la culture du Congo, dont une partie essentielle est exposée au musée. Après une présentation et des échanges dans la salle de conférence, le public sera invité à prolonger les discussions avec les auteurs et autrices dans différentes salles du musée lors d’un parcours unique en compagnie de:

  • Blaise Ndala, auteur de Dans le ventre du Congo (Seuil, 2021), lauréat des prestigieux Prix Ahmadou Kourouma 2021, Prix Ivoire 2021 et Prix Cheikh Amidou Kane 2022.
  • Lilia Bongi, auteure de Amsoria (Amsoria, 2020), distinguée par le Grand Prix Congolais du Livre 2021.
  • Asimba Bathy, auteur de Lumumba. Un homme, une histoire, un destin (éd. Crayon Noir), 2021.
  • Emilie-Flore Faignond, auteure de Afin que tu te souviennes (Paulo-Ramand, 2019), distinguée par le Dunia de la littérature africaine aux African Awards 2017.
  • Lieven Miguel Kandolo et Moussa Don Pandzou, auteurs de Yaya na leki (Epo, 2021).

Le public aura l’opportunité d’acheter et se voir dédicacer les livres des auteurs présents en guise de clôture de l’événement. 
 

Bookutani est une association de fait fondée début 2021 par des membres de la diaspora congolaise engagés dans la promotion de la littérature congolaise, tant en Belgique qu'au Congo. Vous pouvez également suivre les activités sur Facebook et Instagram.

Place

Lieu : AfricaMuseum

Durée
2h
Prix

€ 5

Info

Contact : bookutani@gmail.com