125/5

Hour info
15.00 - 17.00
Langue
Français, néerlandais et anglais
Available
On
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En 2023 le Musée royal de l’Afrique centrale (AfricaMuseum) a 125 ans. Le musée a également rouvert ses portes il y a 5 ans après rénovation. À cette occasion, plusieurs événements ont eu lieu. Le musée clôture la  programmation 125/5  ans  avec l’ouverture de la salle Afropea qui retrace l’histoire de la présence africaine subsaharienne en Belgique. 

Afropea montre la place et le rôle joué par des personnes africaines subsahariennes et des personnes d’ascendance africaine en Belgique depuis le 16e siècle. Le nom de la salle rend hommage à l’album du groupe belgo-congolais Zap Mama,  Adventures in Afropea 1. 

Le dimanche 17 décembre la salle ouvre pour le public, avec les œuvres des artistes : Aimé Ntakiyica,  John K Cobra,  Henri Logelain, Moke,  Pierre Muanza et  The (in)convenience Store, une installation de  Rachel Hansoul.

Deux guides seront dans la salle pour présenter Afropea aux visiteurs. 

Place

Lieu

Salle Afropea, AfricaMuseum

Prix

Avec ticket d’entrée du musée 

Info

À partir du 17.12.2023

Hour info
18h
Available
On
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L’histoire d’une famille intimement mêlée à l’Histoire avec un grand H.

Au commencement, il y a une photo de mariage. Etterbeek 1942.
Qui était François Kamanda et pourquoi a-t-il débarqué en Belgique ?
Quel a été son rôle lors des deux Expositions universelles de Bruxelles ?
Et sous la Résistance, face à l’occupant allemand ?
Comment son portrait s’est-il retrouvé à l’AfricaMuseum de Tervueren ?
Et comment se fait-il que, dans sa propre famille, personne ne connaisse son histoire ? 

Comme dans un puzzle, Eva Kamanda et Kristof Bohez ont réussi à reconstituer la vie de l’arrière-grand-père d’Eva, lequel a vécu loin de ses parents et de sa famille du temps où la colonisation était de mise. Leurs recherches ont permis de lever le voile sur un pan méconnu de l'histoire de Belgique.

Ce livre a valeur d’un manuel sociologique. Il est également une leçon du « Vivre Ensemble ».
Pierre Kompany, Président d'Honneur de l'Union Royale des Congolais de Belgique

Les auteurs
Eva Kamanda (1991) est actrice et présentatrice. Elle est née à Bruxelles, la ville où s’est écoulée la longue vie de son arrière-grand-père congolais.
Kristof Bohez (1983) est journaliste depuis 2005, principalement pour le quotidien Het Nieuwsblad. C’est en sillonnant la capitale avec Eva qu’il découvre que l’histoire nationale et coloniale se lit aussi sur les façades.
 

Place

Lieu

Bistro Tembo, AfricaMuseum (Leuvensesteenweg 13, 3080 Tervuren)

Hour info
15.00 - 17.00
Langue
Français
Available
On
Summary

Dans le cadre des 125/5 ans l’AfricaMuseum organise un groupe de lecture autour d’un livre publié en 2023. Le musée vous invite à lire King Kasaï du journaliste Christophe Boltanski  et ensuite à échanger. Une visite est prévue dans la salle ou se trouve l’éléphant King Kasaï. 

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«  Il est tout blanc, d’un blanc spectral, taillé en Hermès. Privé de son socle, pour ainsi dire détrôné,  il jouxte des artefacts faits de la même substance dure, compacte, quelque peu élimés par le temps, imprégnés de la même grandeur surannée. La vitrine expose une matière – l’ivoire – à travers ses multiples usages exhumés d’un grenier de grand-mère. Un chausse-pied, des coquetiers, des ronds de serviette, un coupe-papier, un bougeoir, des boules de billard, une brosse à cheveux, et au milieu de ce bric-à-brac de brocanteur, un roi avec sa barbe et ses médailles. Léopold II n’est plus qu’un bibelot parmi d’autres.  » 
 
King Kasaï est le nom d’un éléphant empaillé qui fut longtemps le symbole du Musée royal de l’Afrique centrale, situé près de Bruxelles. C’est devant le «  roi du Kasaï  » et près d’un Léopold  II à la gloire déboulonnée, dans cette ancienne vitrine du projet colonial belge aujourd’hui rebaptisée AfricaMuseum, que Christophe Boltanski passe la nuit. 
 
En partant sur les traces du chasseur qui participa à la vaste expédition zoologique du Musée et abattit l’éléphant en 1956, l’auteur s’aventure au cœur des plus violentes ténèbres, celles de notre mémoire. 

Place

Lieu 

AfricaMuseum (Leuvensesteenweg 13, 3080 Tervuren) 

Participants
Maximum 20 participants
Prix

8 euros 

Info

Inscription : reservations@africamuseum.be

 

Le livre est disponible dans le shop du musée. 

Hour info
14.00-15.30 : visite guidée (max. 25 personnes) I 16.00- 17.30 : projection du film
Langue
Français et néerlandais
Available
On
Summary

Le 25 novembre est la Journée Internationale pour l'Élimination de la Violence à l'égard des Femmes. À cette occasion et dans le cadre de la programmation 125/5 ans, MWASI asbl organise, en collaboration avec l’AfricaMuseum et l’ONG Broederlijk Delen, un événement pour commémorer les victimes de la guerre qui dure depuis plus de 25 ans en République Démocratique du Congo.

Sema affiche

Visite guideé décoloniale

Pendant la visite, deux guides vous présenteront différentes salles du musée qui permettent d'appréhender les origines et les enjeux de la guerre à l’Est du Congo. 

Brenda Odimba est ingénieure civil de formation. Au sein de MWASI asbl, elle s’engage en tant qu’activiste décoloniale dans les luttes antiraciste, féministe et écologique, en Belgique et au Congo. Elle guidera la visite en français. 

Sandrine Ekofo est juriste de formation et depuis 2021 chargée de plaidoyer politique sur le Congo chez l’ONG flamande Broederlijk Delen. Elle guidera la visite en néerlandais. 

Film-débat 

Sema (« parle » en swahili) est un film de 2019 du Mouvement National des Survivantes de Violences Sexuelles au Congo. Le film, réalisé par Machérie Ekwa, est basé sur des faits réels et joué en grande partie par des survivantes de violences sexuelles au Congo. Le but du film est de sensibiliser le public sur les causes et les conséquences de la guerre, d’encourager à briser le silence sur les atrocités perpétrées, et de mettre fin à la stigmatisation qu'elles vivent au quotidien.

Après la projection du film, Brenda Odimba et Sandrine Ekofo faciliteront un échange avec Elisabeth Sekanabo de l’association Amuka (« réveille-toi » en swahili) qui mène des projets au Kivu. 

Place

Lieu 

AfricaMuseum

Prix

Visite guidée et film: 8 € 
Film : 5 € 

Info

Inscrivez-vous pour le film

Inscrivez-vous pour la visite guidée et le film

Le 1 décembre l'artiste congolais Innoss'B donne un concert humanitaire dans la salle La Madeleine à Bruxelles, en faveur de la paix au Congo. Les rendements sont pour l'orphelinat Gun Gunna et ses projets à Goma et dans la province du Nord-Kivu. Réservez ici votre ticket : https://concert-innossb.ticketlive.be/selection

Langue
En français
Available
On
Summary

Dans le cadre des 125/5 ans de l’AfricaMuseum et durant la Brussels Fashion Week, la styliste belgo-congolaise Rosy Sambwa organise en collaboration avec le musée un événement autour de l'héritage de la mode africaine qui questionne le rôle du musée hier, aujourd'hui et demain.

Durant 3 jours, le musée, dont les collections abritent plus de 6700 textiles, majoritairement en provenance d'Afrique centrale, sera le lieu de rencontres d'experts internationaux de plus de 10 pays.

Quelle est la place des modes et l'influence des savoir-faire africains sur les divers courants technologiques et artistiques mondiaux ? Comment l'industrie du luxe communique-t-elle autour de cet héritage, autour de l'identité de ses créateurs ? Parler de mode africaine implique-t-il que le créateur soit noir ou d'origine africaine? Parler de créateur africain implique-t-il l'usage du wax ou de tissus traditionnels? Les créateurs africains ne se trouvent-ils que sur le continent noir?

Ces questions et bien d'autres seront abordées lors de l’événement Aya Afrikaanse Fashion Héritage. Le nom, aussi unique que l'événement, se traduit par "Je suis l'héritage de la mode africaine", et trouve ses racines dans 4 langues :

  • Aya, qui signifie "je suis" est en ngandi, en hommage au grand-père de Rosy Sambwa qui parle cette langue et a servi dans la Force publique (armée coloniale) au Congo.
  • Afrikaanse est en néerlandais, la langue parlée par la majorité des colons belges qui étaient réellement en contact avec la population congolaise.
  • Fashion est en anglais, la langue du business international, en particulier dans le monde de la mode.
  • Héritage est en français, langue officielle commune à la Belgique et ses anciennes colonies.

 

Programme

 

Mardi 3 octobre (en ligne)

19.30-21.30 : Conférence Du musée vers le futur : une communication de luxe autour de l'héritage (textile) des designers (africains)

Avec :

  • THOMAS MONDO : Fondateur de l'agence Bel-Amin spécialiste du luxe depuis 2005. Il affiche une solide expérience dans le branding, la publicité et le digital.
  • OLIVIER ZEEGERS : Fondateur de la Modesign Academy, spécialisée en management du Luxe.
  • KARLITA EKUE : Brand strategist, ancienne rédactrice du ELLE Côte d'Ivoire.
  • MINA BINEBINE : Fondatrice de la marque éponyme, ayant choisi de se relocaliser au Maroc.
  • BLENDA CLERJON : Fondatrice de la marque Mwa Wax, elle est chargée d'éducation à l'Institut Français de la Mode (IFM) où elle est en charge d'un master spécialisé en Management de la Mode et du Luxe et du CAP Métiers de la mode. Le gouvernement béninois l'a sollicitée pour mettre en place le programme des futures écoles de mode du pays.

 

Jeudi 5 octobre (au musée)

10.00-17.00 : Du musée vers le futur : rotation autour de l'arbre à palabre

Exposition et présentation de pièces de créateurs originaires de différents pays d'Afrique en présence de Rosy Sambwa (Louise Assomo, Odile Jacobs, Mansour Badjoko, Talansi Design, etc.).

Avant, les créateurs et designers africains se regardaient entre eux, dialoguant autour de l'arbre à palabre, entre initiés de la sape. Ils tournaient le dos au monde, heureux de se comprendre dans un entre soi. Le monde, n'ayant pas leurs codes, les a stigmatisés, leur collant une étiquette : rêveurs ou fainéants, car l'art n'est pas un métier, pour certains ; artisans instinctifs sans finesses, aux mauvaises finitions pour d'autres.

Aujourd'hui, si nous sommes tous les héritiers de ces designers-là, les stylistes actuels, nourris de leurs propres racines, assumant une identité souvent double, parlent au monde pour dire qui ils sont et ce qu'ils font. Aya Afrikaanse Fashion Héritage leur donne un espace dans le musée pour s’exprimer avec leurs mots que sont les textiles, leurs identités et
univers propres.

 

Vendredi 6 octobre (au musée) 

11.00-14.00 : exposition et présentation de pièces de créateurs originaires de différents pays d'Afrique et de quelques pièces sorties de la collection au musée, en présence de Rosy Sambwa (Louise Assomo, Odile Jacobs, Mansour Badjoko, Talansi Design, etc.).

15.00-17.00 : conférence Du musée vers le futur : le wax est-il l'héritage des designers africains ou simplement le plus marketé ?

Avec :

  • PROFESSEUR CYRIL MUSIL : délégué permanent de la RDC auprès de l'UNESCO, chercheur associé au Centre Afrique subsaharienne de l'IFRI, docteur en Sciences sociales de l'École des Hautes Études en Sciences sociales (Paris), professeur de Géopolitique des conflits africains et des études de paix à l'Université catholique de Paris.
  • EMMANUELLE COURRÈGES : Journaliste (Marie-Claire, ELLE, French Grazia, VOGUE Italia, l'EXPRESS STYLES, Le POint.fr, PARIS-MATCH, etc.), directeur-fondateur LAGO54 (plateforme et agence de communication où elle met en avant les créateurs.rices africain.e.s pour changer le regard des Occidentaux sur la mode du continent, Auteur du livre "Swinging Africa, Le Continent Mode" (Editions Flammarion).
  • VÉRONIQUE CHARMANT : experte en marketing produit.
  • THOMAS MONDO : Fondateur de l'agence Bel-Amin spécialiste du luxe depuis 2005. Il affiche une solide expérience dans le branding, la publicité et le digital.
  • STEPHANIE PRINET MOROU : forte d'une solide expérience sur les secteurs du Luxe, de la Mode et des Cosmétiques chez L'Oréal et LVMH, elle fonde son propre cabinet de conseil en stratégie (Metis Insights) et dirige une Start-up digitale (Galeries 54 pour le groupe Total). Elle est aussi à la direction générale de fonds de dotation dédiés au soutien du patrimoine culturel et artistique français notamment lié au parfum.
  • BÉA ERCOLINI : journaliste multimédia, activiste et entrepreneure sociale belge. Rédactrice en chef du Elle Belgique de 2003 à 2016, elle s'emploie à promouvoir la culture et la création belge et a développé une véritable expertise en personal branding online et offline.

 

Samedi 7 octobre (au musée)

16.30-17.00 : Défilé de mode

 

Cet événement est une initiative de Rosy Sambwa, diplômée d'ESMOD Paris, la première école de mode française dédiée au Fashion Design et au Fashion Business. Aujourd'hui, elle donne des conférences et écrit sur la mode. 

Place

AfricaMuseum (Leuvensesteenweg 13, 3070 Tervuren)

Prix

5 euros par événement, hormis la conférence en ligne (gratuite)

Info
Subtitle
Rencontres / Performances /Table ronde
Hour info
14.10: 11:00 - 18:00/ 15.10: 14:00 - 18:00
Langue
Français
Available
On
Summary

Les 14 et 15 octobre 2023, l’AfricaMuseum et Ayoko Mensah (programmatrice artistique et journaliste) invitent le public à rencontrer près de 30 créateur·ice·s et chercheur·se·s lors d’un weekend de réseautage, de débats et de performances autour de l’utilisation artistique des archives du musée. 

Dans le cadre du programme 125/5, qui marque 125 ans d’existence du musée et 5 années depuis sa réouverture en décembre 2018.

Jonathan Vatunga, Mère et enfant (détail), technique mixte, 2023.

Qu’iels soient plasticien·ne·s, cinéastes, musicien·ne·s ou performeur·euse·s , les artistes seront présent·e·s ou connecté·e·s digitalement depuis le continent africain pour se rencontrer et proposer aux professionnels et au public leurs travaux et recherches réalisés à partir de nombreuses archives (écrites, visuelles et sonores) du musée. Ils seront également là pour échanger sur les pratiques, les expériences et interroger le rapport à l’archive et à l’institution muséale. 

La journée du samedi 14 octobre, s’organise une table ronde sur le thème « Appropriation des archives du musée : quelles pratiques ? quels enjeux ? quels problèmes ? » à laquelle participent notamment l’historien Amzat Boukari et la chercheuse Lotte Arndt. La journée se clôture avec l’ouverture de la nouvelle exposition du photographe Teddy Mazina « MY NAME IS NO-BODY » qui déconstruit la conception de l’archive et invite à repenser le rapport au passé, à l’histoire et à la mémoire.

La journée du dimanche 15 octobre sera consacrée à du réseautage et à des échanges avec le public (pas de réservation nécessaire). Une performance du photographe Teddy Mazina aura également lieu dans le cadre de l’ouverture au public de l’exposition MY NAME IS NO-BODY (réservation est necessaire).

Les rencontres se dérouleront principalement en français.

Seront notamment présent·e·s : On Ying Adila Yip, Eric Androa Mindre, Maximilien Atangana, Hilary Balu, Rokia Bamba, Tatiana Bohm, Sarah Carlier, Matthias De Groof, Beau Disundi, Koenraad Ecker, Eddy Ekete, Johan Grimonprez, Stephane Kabila, Kabeya, Victoire Karera, Jean Kamba, Sixte Kakinda, Pytshens Kambilo, Nicole Letuppe, Johnny Leya, Maliza Liebeskind, Emilio López-Menchero, Frédéric Lubansu, Arno Luzamba, Heritier M. Bilaka, Teddy Mazina, Aimé Mpane, Innocent Muhozi, Freddy Mutombo, Paulvi Ngimbi, Precy Numbi, Haldi Nzia Okudheyo, Rosy Sambwa, Prisca Tankwey, Anne-Françoise Tasnier, Fransix Tenda, Jérémy Tshiyembi Koyoka, Eric Van den Abeele, Jonathan Vatunga…

> (Re)-appropriation, biographies d'artistes

More info

Plus d’infos sur le programme des artistes en résidence : www.africamuseum.be/fr/get_involved/artists

Place

Lieu 

AfricaMuseum

Contact

air@africamuseum.be

Info

Image : Jonathan Vatunga, Mère et enfant (détail), technique mixte, 2023. 

Aftermovie

YouTube : https://www.youtube.com/playlist?list=PLn7cTTGw-boWlWLgEvij9mHytPE97UCU9

Subtitle
Teddy Mazina
Hour info
29.10 & 12.11 : la présentation guidée à 11:30, 13:30, 15:30 et 16:30
Langue
Français, néerlandais, anglais
Available
On
Summary

Cartels de Tervuren, Assignations définitives & Altérités radicales 

Comment comprendre la persistance des stéréotypes ethno-raciaux par le prisme de la photothèque coloniale ?

Avec le projet MY NAME IS NO-BODY, Teddy Mazina pose un regard critique sur les archives photographiques et leurs cartels, le parti pris des prises de vues des différentes missions photographiques au Congo, Ruanda-Urundi, le langage, le choix des mots de leurs descriptions et leurs destinations.

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Teddy Mazina questionne les représentations photographiques coloniales de l’Afrique, des Africains ou des non-Européens, comme la mise en images de la différence absolue, d’altérités radicales, d’êtres lacunaires, de corps sans sujet,  de ‘subjectivations impossibles’. Des êtres auxquels il manquerait nécessairement quelque chose, et de manière récurrente dans les cartels, DES NOMS.

MY NAME IS NOBODY est une mise en forme par vidéo projection, d’une sélection de cartels et d’images de la photothèque coloniale de l’AfricaMuseum. Des scientifiques du musée y présentent l’histoire et les motivations des missions photographiques coloniales, la fascination pour certains sujets, certains groupes de population et les raisons de l’absence récurrente et souvent totale de noms des personnes photographiées.

 

Avertissement
Le musée est conscient que les images et les mots utilisés dans cette exposition peuvent choquer ou offenser. 
Leur choix fait partie de la démarche de l’artiste Teddy Mazina et de son travail de déconstruction des stéréotypes contenus dans le discours de la photothèque coloniale historique. 
Ces images et mots ne correspondent en aucun cas à la vision actuelle de l’AfricaMuseum. 
Vos réactions : teddy.mazina@gmail.com 

Alternative date info
Visite de l’expo le 29 octobre et le 12 novembre. Présentation guidée avec Teddy Mazina.
Place
Prix

€ 5

Info
Subtitle
Conférence
Hour info
14.30-17.00h
Langue
Français
Available
On
Summary

Dans le cadre des 125/5 ans, l’association Bakushinta organise en collaboration avec l’AfricaMuseum une conférence de valorisation et promotion de la fibre raphia, dans sa dimension culturelle, technique et économique.

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Cet événement souhaite démanteler les stéréotypes racistes sur les personnes noires et africaines dans l'habillement, en présentant les preuves d'ingéniosité créative historique et les savoir-faire technologiques des textiles dans le processus de production et en exposant toute sa complexité inventive et technique d'hier à nos jours.

Lors de la conférence vous pouvez :

  • Acquérir un guide pour l'étude approfondie du raphia de la RDC pour vos projets créatifs et culturels.
  • Comprendre l'importance culturelle et historique du palmier raphia.
  • Explorer le lien entre savoir-faire et culture des fibres de palmier raphia .

Les organisatrices Georgine Dibua Mbombo et Judith Ambusu Akuma vous invitent à venir interagir et échanger, à bénéficier de leur expertise ainsi que de l'expérience entrepreneuriale des invité.e.s.

Programme

14.30-15.00 : Verre de bienvenu

15.00-15.25 : La relation entre la culture et le savoir-faire pour le palmier raphia en RDC (avec Georgine Dibua Mbombo)

15.25-15.50 : Décortiquer la matérialité et les informations d'un tissu raphia (avec Judith Ambusu Akuma)

15.50-16.15: Le raphia, une source infinie d'entrepreneuriat : Comment innover et réinventer avec ce patrimoine naturel ? (talk)

16.15-16.45 : Questions et débat

Place

Lieu

AfricaMuseum et en ligne

Inscrivez-vous

Inscription présentiel 

Inscription en ligne 

Prix

€ 5

Info
Hour info
15.00 - 17.00 h (accueil à partir de 14.30h)
Langue
Français
Available
On
Summary

Dans le cadre des 125/5 ans, l’association Bookutani vous invite en collaboration avec l’AfricaMuseum à plonger au cœur de l'Histoire fascinante de la République Démocratique du Congo (RDC) à travers une rencontre enrichissante qui rassemble les connaissances, expériences et œuvres des auteurs et autrices du Congo et sa diaspora.

Bookutani

Cet événement offre au public un accès privilégié et authentique à l'Histoire et la culture du Congo, dont une partie essentielle est exposée au musée. Après une présentation et des échanges dans la salle de conférence, le public sera invité à prolonger les discussions avec les auteurs et autrices dans différentes salles du musée lors d’un parcours unique en compagnie de:

  • Blaise Ndala, auteur de Dans le ventre du Congo (Seuil, 2021), lauréat des prestigieux Prix Ahmadou Kourouma 2021, Prix Ivoire 2021 et Prix Cheikh Amidou Kane 2022.
  • Lilia Bongi, auteure de Amsoria (Amsoria, 2020), distinguée par le Grand Prix Congolais du Livre 2021.
  • Asimba Bathy, auteur de Lumumba. Un homme, une histoire, un destin (éd. Crayon Noir), 2021.
  • Emilie-Flore Faignond, auteure de Afin que tu te souviennes (Paulo-Ramand, 2019), distinguée par le Dunia de la littérature africaine aux African Awards 2017.
  • Lieven Miguel Kandolo et Moussa Don Pandzou, auteurs de Yaya na leki (Epo, 2021).

Le public aura l’opportunité d’acheter et se voir dédicacer les livres des auteurs présents en guise de clôture de l’événement. 
 

Bookutani est une association de fait fondée début 2021 par des membres de la diaspora congolaise engagés dans la promotion de la littérature congolaise, tant en Belgique qu'au Congo. Vous pouvez également suivre les activités sur Facebook et Instagram.

Place

Lieu : AfricaMuseum

Durée
2h
Prix

€ 5

Info

Contact : bookutani@gmail.com